Je n'aime pas les plages bondées, je n'aime pas le sable, je n'aime pas trop me baigner dans la mer à cause de mes cheveux, mais j'aime marcher le long des vagues, surtout quand elles fouettent. Pas question aujourd'hui, dernière semaine de vacances, de m'adonner à mon rite favori. Les mioches courent dans les vagues et éclaboussent, s'essaient sur leurs planches miniatures. Pour une fois, je vais m'asseoir tranquillement et observer tous ces gens qui se goinfrent innocemment de soleil et de bon air pur quelques jours encore...
Nous avions roulé toute la journée et devions passer la frontière de manière à arriver à temps à San Seba (pour les intimes), Anouck et moi, excitées comme des puces, et ses parents. Le lendemain, nous, les filles, devions prendre le train à Irún, rouler toute la nuit et arriver dans la matinée du surlendemain à Valencia (mía, país de amo-o-o-o-r).
L’écrivain Japonais Haruki Murakami, qui a reçu de nombreux prix, et dont le nom a été évoqué comme possible lauréat du prix Nobel, possède un univers bien particulier qu’on retrouve dans presque toutes ses œuvres.
Giscard vient de passer la main... « Le morts saisit le vif »
formule que l'on m'a inculquée en 1ere année de droit civil pour signifier que
les héritiers doivent gérer la succession du «de cujus».
Voilà une question bien étrange. On dira aisément que l’utérus a été notre premier lieu de confinement, jusqu’à ce que notre mère n’en pouvant plus, nous mette à la porte de chez elle. L’image est un peu facile et ne mérite pas grand développement.
Pour lancer notre débat de la
manière la plus simple possible je dirai que notre rapport au temps relève de
la plus totale incompréhension... « En apparence, nous
dit Etienne Klein, il est aussi banal que les mots pain ou table,
mais cette proximité familière ne résiste pas longtemps à l'exploration» !
Et de citer Saint Augustin « Quand on ne me le demande pas, je
sais ce qu'est le temps; quand on me le demande, je ne le sais plus»...
Paradoxe troublant et pourtant imparable...
petite méthode à respecter pour faire insérer un texte dans les chroniques royannaises ( insertions réservées aux adhérents de l'association ), les commentaires sont ouverts pour tous,