> Billet d'humeur printanière ✎ Annie Birkemeier
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Lire la suite de > Les bénéfices collatéraux du Covid ✎ Jean-Paul Gazeau
Lire la suite de > Billet d'humeur : suite et fin ? Que nenni ! ✎ Annie Birkemeier
(Librement inspiré de Martin Luther King)
Je fais un rêve... A
force de jouer avec sa pomme, Isaac l'a carrément envoyée sur Mars.
Il se demande à quoi cela pourrait bien lui servir et surtout
comment la récupérer ?
Je fais un rêve... Personne ne doute que la terre est ronde et pas carrée, et qu'elle tourne autour du soleil. De là à imaginer que le système solaire n'est qu'un système parmi d'autres... Les gens sont fous, ce n'est guère imaginable.
NDLR: Toute ressemblance ou coïncidence avec des personnages existant, ayant existé, ou imaginaires, est purement intentionnelle. Toute ressemblance ou coïncidence avec des évènements réels ou imaginaires, est purement intentionnelle...
Lire la suite de > Covid An 2 : Et Dieu dans tout ça ?... l'Intégraale ✎ Jacques Eskénazi
Nous voilà bien tristes au terme de notre thriller poético-mystique
haletant, aux rebondissements éprouvants, mais il y a une fin à
tout.....
Alors voilà, je résume brièvement les trois premières saisons: il nous fallait impérativement connaître Son rôle dans la pandémie actuelle et nous L'avons suivi jusqu'au moment où nous avons appris de la bouche même de Nietzsche l'annonce de Sa mort.
Malgré l'ampleur des efforts déployés pour retrouver Son corps, force est de constater que nous n'avons rien trouvé....
Pendant ce temps là la pandémie étendait son ombre menaçante sur l'humanité jusqu'au jour où Jean, Jean Michel, Olivier, Elizabeth, Bruno et Roselyne se sont érigés en sauveur....
Lire la suite de > Covid An 2 : Et Dieu dans tout ça ?... Saison 4, suite et fin ✎ Jacques Eskénazi
Le mouvement pour le respect des diversités se résume désormais à la revendication d’un traitement particulier (= privilège) sur critères ethniques ou religieux en recyclant les catégories de pensée utilisées par les (anciens) dominants. Il suffit d’inverser ces catégories pour se lancer dans la course victimaire et procéder au flicage idéologique de la société. Les outils de cette déconstruction ont été propagés par ce que les Américains ont appelé la « french theorie » (voir le billet d’humeur précédent sur les thuriféraires de cette dénommée « postmodernité » dépassés par leurs émules !). Procédé typique du discours totalitaire que le mouvement ci-dessus évoqué prétend dénoncer. La méthode est simpliste, et les munitions sémantiques, puisées dans l’arsenal de ladite « french theorie », sont reconverties au profit de minorités identitaires - une véritable explosion - qui jargonnent devant des prosélytes trop éblouis pour y voir clair et une majorité confite en repentance (cf. : la névrose de la culpabilité blanche). Le JE déconstruit pour sa pomme/sa tribu les mécanismes d’une domination largement fantasmée et impose un diktat victimaire. Je suis une victime, donc tais-toi ! Dit autrement : la déconstruction des identités de classes (Bourdieu) a débouché sur son antithèse, la revendication identitaire qui se superpose à l’identité victimaire qui cherche sa juste place dans la hiérarchie des victimes. Plus victime que moi, tu meurs...