> Virus, couvre-feu, confinement... ✎ Arlette Audebrand
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L’actualité est emplie d’événements qui convergent en sens opposé vers les extrémismes. À peine vient-on mettre le doigt dans la plaie du libertarisme sexuel hérité de mai 68, du jouir sans entraves et des nouvelles « sciences » ( ! ) sociologiques qui prônaient l’abandon de toutes les hiérarchies, la déconstruction des traditions liées aux mythes et religions, ou aux morales castratrices et aliénantes, que l’on découvre une nouvelle hiérarchie : celle, inversée, des minorités. (Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain : mai 68 a apporté un bon coup de vent frais et roboratif.)
Lire la suite de > " Est-ce que je te demande si ta grand-mère fait du vélo ? " ✎ Jean-Paul Gazeau
Rappel de la saison 1, où il a été question de rechercher à la fois le rôle qu'Il joue, ou a pu jouer, au cours de la pandémie actuelle de COVID, et l'identité exacte de Celui qui, sous le nom de Dieu a néanmoins emprunté des noms et des identités différentes au cours de l'histoire …. Identifié au tout début de cette narration sous de multiples pseudos (...Zeus, Jupiter, Poséidon, Yahvé, voire Vishnou ou Allah ...) Il a mobilisé l'énergie de la plupart des grands intellectuels acharnés à son identification, Spinoza allant même jusqu'à l'assimiler à peu prêt à tout : « Par Dieu j'entends un être absolument infini, c'est à dire une substance consistant en une infinité d'attributs dont chacun exprime une essence éternelle et infinie » - ( l'Ethique ).
Bon... Nous en étions à peu près là lorsque Nietzsche nous a déclaré tout de go : « Dieu est mort »....
Lire la suite de > Covid An 2 : Et Dieu dans tout ça ?... Saison 2 ✎ Jacques Eskénazi
Qu'il est beau en hiver dépouillé de ses feuilles, nu, face à la mer qui a pris les couleurs de son écorce, gris vert, jaune pâle, vert foncé.
Un vêtement de soldat
Un vêtement militaire de camouflage.
L'horizon bleuté de Foncillon évoque la « Ligne bleue des Vosges ».
Le nuage blanc et son reflet en forme de lame pointue apparaît comme une arme tranchante.
Ce tableau en apparence anodin, un simple platane, se révèle, si on conjugue les détails, être un tableau de guerre, représentant les pensées enfouies, inavouées, refoulées, où l'arbre dans sa grandeur agglutine, imprime des formes humaines et animales qu'écrase la grande semelle cloutée de l'ennemi.
...Quand un tableau DÉVOILE les profondeurs de la pensée à l'insu de la personne même ! On s'étonne...
* Toile de Théboul, actuellement exposée à Saint Sulpice de Royan, « Les Résidentiels », avenue de Rochefort, jusqu'au 17 février,